Les stéroïdes : des anabolisants dangereux pour la santé ?
Classiquement, il existe une modification progressive et constante du profil tensionnel. Toutefois, cela cache également une modification et une dégradation des fonctions lipidique avec une augmentation du L.D.L. cholestérol, une diminution du H.D.L. cholestérol et une augmentation des triglycérides. Le facteur de risques principal est donc un risque de fragilisation des coronaires, avec la possibilité chez des sujets jeunes, de présenter un infarctus massif.
En première page, nous avions même des images de seringues, produits, avec bien évidemment la rubrique « To buy ». Naturellement sécrétés par l’Homme, les stéroïdes sont notamment responsables de la différenciation sexuelle. Egalement connus dans le domaine sportif sous le nom d’anabolisants, ils sont classés comme produits dopants par l’Agence mondiale anti-dopage.
- Vous trouverez toujours quelqu’un, à la salle ou ailleurs, qui vous donnera de bonnes raisons de prendre des stéroïdes.
- Mais cela ne veut pas dire que vous ne pourrez pas avoir des muscles impressionnants si vous ne touchez pas aux stéroïdes.
- Le problème, c’est que les anabolisants de musculation en vente libre ne sont pas contrôlés, avec des produits d’origine animale souvent destinée à un usage vétérinaire seulement.
- Souvent les utilisateurs de stéroïdes consomment aussi de l’alcool, du cannabis, des benzodiazépines, des médicaments qui contiennent de la codéine et des opiacés soit pour contrer les effets indésirables soit pour se détendre après des gros entrainements.
L’utilisation d’AAS augmente la masse musculaire et la force, avec de nombreux effets secondaires déjà bien documentés, allant de l’acné aux troubles cardiaques en passant par une agressivité accrue. Cette recherche ajoute un effet indésirable sur le cerveau, son vieillissement prématuré. « L’utilisation d’AAS a été associée à une gamme d’effets secondaires médicaux et psychologiques », rappelle l’auteur principal, le Dr Astrid Bjørnebekk du Département de santé mentale et de la toxicomanie, de l’Hôpital universitaire d’Oslo. « Etant donné que les deylyandriol.com ne sont dans le domaine public que depuis environ 35 ans, nous sommes encore dans une phase de découverte progressive de leurs effets après une utilisation prolongée.
bonnes raisons de prendre des stéroïdes (ou de ne pas en prendre)
On accuse les stéroïdes de modifier l’humeur et d’augmenter la tension artérielle et le cholestérol. Sous forme de pilules, ils sont surtout nocifs pour le foie, surtout si vous prenez en même temps des médicaments ou de l’alcool. Notamment les stéroïdes en vente libre sur internet sont hors de contrôle et sont la plupart du temps issus de laboratoires illégaux. Vous trouverez toujours quelqu’un, à la salle ou ailleurs, qui vous donnera de bonnes raisons de prendre des stéroïdes.
Il faut reconnaître toutefois que de nombreuses références mettent en garde le sportif sur le danger de l’utilisation de ces produits. Par contre, si l’on tapait dans le même moteur de recherche, les mots en anglais « Anabolic steroids », nous retrouvions plus de 2 millions de références pour se procurer, acheter et utiliser les stéroïdes anabolisants. La supplémentation en testostérone ne peut être prescrite à un homme souffrant d’un cancer de la prostate ou du testicule.
Alors, que faire ?
Chez les femmes, elle contribue au maintien de la densité osseuse et de la masse musculaire. Les femmes qui en consomment de manière volontaire multiplient en moyenne leur taux par 30. En application de la loi nº78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, vous disposez des droits d’opposition (art.26 de la loi), d’accès (art.34 à 38 de la loi), et de rectification (art.36 de la loi) des données vous concernant.
Sites du groupe
Grosso modo, j’estime que sans stéroïdes vous pouvez atteindre 2/3 de la force et de la masse musculaire auxquelles vous seriez arrivés avec des SAA. Les lois très controversées qui classent les stéroïdes parmi les narcotiques ont vu le jour en 1990 avec l’adoption du Controlled Substances Act aux Etats-Unis. D’autres pays ont suivi cette voie, mais le fait est qu’à l’époque la DEA et la FDA avaient protesté aux Etats-Unis contre cette législation en disant que la testostérone ne pouvait être qualifiée de drogue provoquant la dépendance. L’abus des SAA a été associé à la survenue de dépression, d’anxiété, de paranoïa.